Jeudi 7 mai
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16:19
Lorsque je croise une fille anonyme, il m’arrive de l’imaginer nue contre moi, dans
des positions fantasques, dans un lieu insolite, là, dans la rue par exemple. Comme dit précédemment, je ne tenterais rien avec celle-là. A l’opposé, il y a ses autres filles pour qui je n’éprouve
rien du tout. C’est pourtant avec celles-ci que je vais avoir un rapport sexuel… Si je suis parfois surpris du résultat, lors de ma première fois, j’ai été bien mal inspiré de choisir
Charlène.
Mesdames, Mesdemoiselles et Messieurs, installez vous confortablement et reprenez un peu de popcorn. Préparez vous toutefois à frémir puisque, ce soir, je vais vous conter la véritable histoire du « désastreux et effrayant premier coup de rein de Dan »…
L’affaire débute durant ma première année de lycée. Après quatre ans de collège à oublier, je me retrouve dans une école majoritairement fréquentée par des filles. Pétrifier par toutes ses présences féminines, il a fallu un temps d’adaptation avant que je me décide enfin à adresser la parole à quelques une d’entre elle. Et encore, si certaines n’avait pas eu la bonté de faire le premier pas vers l'animal apeuré que j’étais, j’aurais pu compter mes connaissances sur les doigts de ma main. Il y avait Typhanie, Marine ou encore Amel que je suivais à la trace, puis, accroché derrière moi, trainais ma casserole personnelle : Charlène, donc.
Charlène était connus dans tout le bahut. Pas pour sa plastique, non, mais plutôt pour la réputation qu’elle s’était créer bien malgré elle. Tout le monde la voyait comme l’imbécile de service, l’idiote du village, la gentille fille un peu sotte. Dans un univers d’adolescents un peu prétentieux, la trop grande gentillesse de Charlène ne suffisait pas à bien se faire voir, au contraire. Bien des personnes profitait d’elle et s’en moquait dès qu’elle avait le dos tourné. Ça candeur naturelle faisait le reste, elle ne s’en apercevait même pas. Elle me peinait un peu, j’avais envie de l’aider. J’en ai peut-être un peu trop fait.
Sans crier gare, je me suis retrouvé à l’embrasser en coup de vent entre deux bus. C’était là mon tout premier baiser. Je fus dépité : ça avait un goût de yaourt et la fougue d’une limace grabataire. Mais, au-delà de la déception, j’avais surtout immensément honte de moi. Je sortais avec la personne la plus indésirable de la galaxie (oui, j’exagère un peu mais en même temps je vous relate les faits tels que je les ai ressentis à l'époque). Du haut de mes quinze années, je me lestais d’un fardeau de six ans mon ainé, de surcroit. Si seulement j’avais pressentis que cette humiliation initiale allait être la première d’une longue série, je lui aurait certainement aussitôt fais comprendre que finalement nous n’irions pas plus loin. Plein d’immaturité, je lui ai seulement fais promettre de ne rien dévoiler à personne…
Deux jours plus tard, le lycée en entier était au courant de notre « idylle secrète ». Elle n’avait pas pu s’empêcher de se confier à une traitre qui s’est précipiter pour le hurler dans tous les coins. Par la suite, je subissais les railleries et les regards ahuris de mes récentes amies et même de personnes que je ne connaissais pas. J’ai tenu une semaine avant de la larguer pitoyablement.
L’histoire aurais pu (et aurais du) s’arrêter là. Les jours suivant, je me serais vaguement expliquer sur mon égarement passager et j’en rigolerais au bout d’un petit mois. Mais Charlène était étonnement tenace. La raison : elle m’aimait déjà. J’en fut honoré mais je lui signifiais que je n’y reviendrais plus. Elle me répondit qu’elle aurait souhaité m’offrir son pucelage, j’en restait coi…
Faire l’amour… Une fille désirais faire l’amour avec l’adolescent frustré et impatient que j’étais. Alors qu’elle ne me faisais aucun effet particulier jusqu’alors, elle se métamorphosait soudain en une figure mystique de la sexualité. Une sorte de déesse qui me montrait de son sage doigt la direction de son vagin subitement convoité. Sans plus y réfléchir, je cédais à sa demande. A l’annonce de nos retrouvailles, on me charria doublement, mais je m’en moquais à présent : j’allais enfin mettre mon sexe dans un vagin. Mon sacrifice ne serait pas vain.
31 décembre 2002. Charlène, moi, ainsi que quelques uns de nos amis célébrons le réveillon entre jeunes. On se retrouve entassé dans un appartement miteux planqué dans un village quelconque, il n’y a rien à se mettre sous la dent, l’alcool ne coule même pas à flot. Je m’en tamponne carrément, ce soir je ne serais plus vierge. Passé minuit, des paupières se ferment, j’en profite pour emmener Charlène dehors. Je recherche du regard l’endroit optimal, la voiture d’untel fera parfaitement l’affaire ; il est déjà occupé à dépucelé sa copine à lui. Une capote dans la poche, un drap sous le bras, je m’active à plier les sièges pour gagner de la place. J’allonge Charlène à mes côtés et entreprend un déshabillage ordonné. Elle est émue, je me souviens alors que l’instant est également important en ce qui la concerne. Très vite je dégrafe son soutien-gorge, sa poitrine m’apparait dans la semi-obscurité. Je presse mes lèvres contre son tétons et ma main contre son sein. C’est mou, trop mou. Je m’y attarde tout de même une poignée de minute, je savoure le premier nichon comme si du lait en sortait. Maladroit et fébrile, j’entreprend de lui retirer le bout de tissus qui protège le palais aux merveilles. J’ignorais encore qu’il s’agissait de la caverne aux horreurs. Des poils entrent en contact avec mes doigts, trop de poils, encore. C’est agressif et piquant mais je m’en fiche, tant qu’il n’y en a pas dedans… Elle est intégralement nue et moi aussi. J’arrache le préservatif de ma poche et l’enfile sur mon sexe. Lui s’est durcis comme jamais. D’ici quelques secondes il sera au chaud. Mais…
Une odeur me chatouille les narines, qu’est-ce ? J’ose à peine croire en ce que je sens à ce moment précis. J’ai astiqué ma queue au savon pendant une heure tout à l’heure, ça ne peut pas venir de moi. Prudent, je dirige mon visage vers l’entrejambe de Charlène. Il n’y a pas de doute possible : sois tous les vagins ont cette odeur et je deviens prêtre dans l’heure, sois elle pue simplement de la chatte. Aventurier, je poursuis mon chemin de croix. Je ne peux décemment plus faire machine arrière, je n’ai pas subit tout ça pour rien ! Puis je me dis que le latex me protège, j’espère seulement que l’acide n’attaquera pas le plastique. Charlène est dans un état second, depuis dix minutes elle respire bruyamment et ne bouge plus. Est-il possible qu’elle se soit asphyxié avec ses propres vapeurs ? Je me poserais la question plus tard, j’ai plus important à faire. Mon sexe entre en contact avec le sien, ébouriffé et puant. Je force l’entrée tout en demeurant doux.
Ça ne rentre pas. Je m’y reprend à plusieurs reprises, écarte plus largement ses cuisses, presse avec insistance et vigueur la porte de son vagin mais rien à faire. Soudainement prise de panique, elle me demande de laisser tomber. J’ai envie d’exploser, de lui foutre ma bite dans sa bouche, au moins, il y a de la place et pour avoir mis ma langue dedans, l’endroit est bien moins risqué que sa chatte. J’ai envie de lui écarter son trou au forceps, voire de lui faire l’anus. Je m’en balance, je veux mon frisson après la frayeur ! Mais je ravalerais ma rage tandis que mon pénis renverrais son fluide à ses réserves.
De retour dans l’appartement, Carla, notre copine commune jouis à gorge déployée sous les coups de reins de son amant. Téméraire, je retente ma chance, traversant de nouveau les différentes étapes traumatisantes. Epuisé et drogué par sa chatte, je crois que j’ai enfin franchis la barrière de ses lèvres. Je finis par me rendre compte que le trou dans lequel je faisais des va et viens était en réalité l’espace entre son cul et le matelas. L’humiliation ultime. Au moins j’étais rassuré de comprendre pourquoi et n’émettait aucun bruit. En même temps, je me demandais pourquoi elle ne m’avait pas prévenu. Je me laissais tomber près d’elle, lessivé.
L’information parcouru l’assistance entière. Je devenais au lendemain des vacances, l’homme qui avait « dépucelé » la fameuse Charlène. Une personne pleine d’esprit et d’humour avait même nommer l’évènement « les douze coups de Dan ». L’ironie de l’histoire c’est qu’aucun coup n’a été donné. Au mieux, je m’étais surement frapper la tête contre le premier mur venu. Je quittais tout de même Charlène, complètement dépassé par la situation…
Moralité : Si tu te retrouves dans une situation qui sent un peu mauvais, déguerpis vite, car ça risque de puer plus encore un peu plus tard…
Mesdames, Mesdemoiselles et Messieurs, installez vous confortablement et reprenez un peu de popcorn. Préparez vous toutefois à frémir puisque, ce soir, je vais vous conter la véritable histoire du « désastreux et effrayant premier coup de rein de Dan »…
L’affaire débute durant ma première année de lycée. Après quatre ans de collège à oublier, je me retrouve dans une école majoritairement fréquentée par des filles. Pétrifier par toutes ses présences féminines, il a fallu un temps d’adaptation avant que je me décide enfin à adresser la parole à quelques une d’entre elle. Et encore, si certaines n’avait pas eu la bonté de faire le premier pas vers l'animal apeuré que j’étais, j’aurais pu compter mes connaissances sur les doigts de ma main. Il y avait Typhanie, Marine ou encore Amel que je suivais à la trace, puis, accroché derrière moi, trainais ma casserole personnelle : Charlène, donc.
Charlène était connus dans tout le bahut. Pas pour sa plastique, non, mais plutôt pour la réputation qu’elle s’était créer bien malgré elle. Tout le monde la voyait comme l’imbécile de service, l’idiote du village, la gentille fille un peu sotte. Dans un univers d’adolescents un peu prétentieux, la trop grande gentillesse de Charlène ne suffisait pas à bien se faire voir, au contraire. Bien des personnes profitait d’elle et s’en moquait dès qu’elle avait le dos tourné. Ça candeur naturelle faisait le reste, elle ne s’en apercevait même pas. Elle me peinait un peu, j’avais envie de l’aider. J’en ai peut-être un peu trop fait.
Sans crier gare, je me suis retrouvé à l’embrasser en coup de vent entre deux bus. C’était là mon tout premier baiser. Je fus dépité : ça avait un goût de yaourt et la fougue d’une limace grabataire. Mais, au-delà de la déception, j’avais surtout immensément honte de moi. Je sortais avec la personne la plus indésirable de la galaxie (oui, j’exagère un peu mais en même temps je vous relate les faits tels que je les ai ressentis à l'époque). Du haut de mes quinze années, je me lestais d’un fardeau de six ans mon ainé, de surcroit. Si seulement j’avais pressentis que cette humiliation initiale allait être la première d’une longue série, je lui aurait certainement aussitôt fais comprendre que finalement nous n’irions pas plus loin. Plein d’immaturité, je lui ai seulement fais promettre de ne rien dévoiler à personne…
Deux jours plus tard, le lycée en entier était au courant de notre « idylle secrète ». Elle n’avait pas pu s’empêcher de se confier à une traitre qui s’est précipiter pour le hurler dans tous les coins. Par la suite, je subissais les railleries et les regards ahuris de mes récentes amies et même de personnes que je ne connaissais pas. J’ai tenu une semaine avant de la larguer pitoyablement.
L’histoire aurais pu (et aurais du) s’arrêter là. Les jours suivant, je me serais vaguement expliquer sur mon égarement passager et j’en rigolerais au bout d’un petit mois. Mais Charlène était étonnement tenace. La raison : elle m’aimait déjà. J’en fut honoré mais je lui signifiais que je n’y reviendrais plus. Elle me répondit qu’elle aurait souhaité m’offrir son pucelage, j’en restait coi…
Faire l’amour… Une fille désirais faire l’amour avec l’adolescent frustré et impatient que j’étais. Alors qu’elle ne me faisais aucun effet particulier jusqu’alors, elle se métamorphosait soudain en une figure mystique de la sexualité. Une sorte de déesse qui me montrait de son sage doigt la direction de son vagin subitement convoité. Sans plus y réfléchir, je cédais à sa demande. A l’annonce de nos retrouvailles, on me charria doublement, mais je m’en moquais à présent : j’allais enfin mettre mon sexe dans un vagin. Mon sacrifice ne serait pas vain.
31 décembre 2002. Charlène, moi, ainsi que quelques uns de nos amis célébrons le réveillon entre jeunes. On se retrouve entassé dans un appartement miteux planqué dans un village quelconque, il n’y a rien à se mettre sous la dent, l’alcool ne coule même pas à flot. Je m’en tamponne carrément, ce soir je ne serais plus vierge. Passé minuit, des paupières se ferment, j’en profite pour emmener Charlène dehors. Je recherche du regard l’endroit optimal, la voiture d’untel fera parfaitement l’affaire ; il est déjà occupé à dépucelé sa copine à lui. Une capote dans la poche, un drap sous le bras, je m’active à plier les sièges pour gagner de la place. J’allonge Charlène à mes côtés et entreprend un déshabillage ordonné. Elle est émue, je me souviens alors que l’instant est également important en ce qui la concerne. Très vite je dégrafe son soutien-gorge, sa poitrine m’apparait dans la semi-obscurité. Je presse mes lèvres contre son tétons et ma main contre son sein. C’est mou, trop mou. Je m’y attarde tout de même une poignée de minute, je savoure le premier nichon comme si du lait en sortait. Maladroit et fébrile, j’entreprend de lui retirer le bout de tissus qui protège le palais aux merveilles. J’ignorais encore qu’il s’agissait de la caverne aux horreurs. Des poils entrent en contact avec mes doigts, trop de poils, encore. C’est agressif et piquant mais je m’en fiche, tant qu’il n’y en a pas dedans… Elle est intégralement nue et moi aussi. J’arrache le préservatif de ma poche et l’enfile sur mon sexe. Lui s’est durcis comme jamais. D’ici quelques secondes il sera au chaud. Mais…
Une odeur me chatouille les narines, qu’est-ce ? J’ose à peine croire en ce que je sens à ce moment précis. J’ai astiqué ma queue au savon pendant une heure tout à l’heure, ça ne peut pas venir de moi. Prudent, je dirige mon visage vers l’entrejambe de Charlène. Il n’y a pas de doute possible : sois tous les vagins ont cette odeur et je deviens prêtre dans l’heure, sois elle pue simplement de la chatte. Aventurier, je poursuis mon chemin de croix. Je ne peux décemment plus faire machine arrière, je n’ai pas subit tout ça pour rien ! Puis je me dis que le latex me protège, j’espère seulement que l’acide n’attaquera pas le plastique. Charlène est dans un état second, depuis dix minutes elle respire bruyamment et ne bouge plus. Est-il possible qu’elle se soit asphyxié avec ses propres vapeurs ? Je me poserais la question plus tard, j’ai plus important à faire. Mon sexe entre en contact avec le sien, ébouriffé et puant. Je force l’entrée tout en demeurant doux.
Ça ne rentre pas. Je m’y reprend à plusieurs reprises, écarte plus largement ses cuisses, presse avec insistance et vigueur la porte de son vagin mais rien à faire. Soudainement prise de panique, elle me demande de laisser tomber. J’ai envie d’exploser, de lui foutre ma bite dans sa bouche, au moins, il y a de la place et pour avoir mis ma langue dedans, l’endroit est bien moins risqué que sa chatte. J’ai envie de lui écarter son trou au forceps, voire de lui faire l’anus. Je m’en balance, je veux mon frisson après la frayeur ! Mais je ravalerais ma rage tandis que mon pénis renverrais son fluide à ses réserves.
De retour dans l’appartement, Carla, notre copine commune jouis à gorge déployée sous les coups de reins de son amant. Téméraire, je retente ma chance, traversant de nouveau les différentes étapes traumatisantes. Epuisé et drogué par sa chatte, je crois que j’ai enfin franchis la barrière de ses lèvres. Je finis par me rendre compte que le trou dans lequel je faisais des va et viens était en réalité l’espace entre son cul et le matelas. L’humiliation ultime. Au moins j’étais rassuré de comprendre pourquoi et n’émettait aucun bruit. En même temps, je me demandais pourquoi elle ne m’avait pas prévenu. Je me laissais tomber près d’elle, lessivé.
L’information parcouru l’assistance entière. Je devenais au lendemain des vacances, l’homme qui avait « dépucelé » la fameuse Charlène. Une personne pleine d’esprit et d’humour avait même nommer l’évènement « les douze coups de Dan ». L’ironie de l’histoire c’est qu’aucun coup n’a été donné. Au mieux, je m’étais surement frapper la tête contre le premier mur venu. Je quittais tout de même Charlène, complètement dépassé par la situation…
Moralité : Si tu te retrouves dans une situation qui sent un peu mauvais, déguerpis vite, car ça risque de puer plus encore un peu plus tard…
"Quelquechose me dit que je vais perdre mon aiguille dans cette botte de
foin..."