Présentation

Fiche d'indentité

  • Dan
  • Homme
  • Plutôt que de ronger mon frein en permanence ou de pratiquer des activités en solo, j'ai choisis d'écrire sur mes besoins primaires et de les partager avec qui le voudra. Je m'appelle Dan, j'ai 22 ans et j'ai envie de refaire l'amour...
  • 01/01/1987
  • Célibataire

Informations

  • Afin de ne pas heurter la sensibilité de mes proches (si d'aventure ils passaient par là), tous les noms de ce blog on été modifiés (dont le mien) ^_^;
    • L'intégralité des textes et des jolis collages ont été créé par moi-même, c'est pourquoi il serait sympa de me demander la permission pour les réccupérer, voire de les réutiliser, quelqu'en soit la raison. Merci d'avance ;-) .

Humeur du moment

Yipee ! Encore quelques formalités à règler et je m'implante à Tours de manière définitive !

Tremblez tourangeaux, tremblez !!! Mwa ! ha ! ha !

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erog

Lundi 11 mai 1 11 /05 /Mai 15:14

Il était une fois....

Et bien oui, pour chaque existence son commencement, pour chaque destinée sa genèse. Je pourrais vous narrer le début de ma vie mais puisqu'il est plutôt question de sexe ici, je vais en rester à ce domaine.


En farfouillant dans ma mémoire, je me suis d'abord aperçu que la chose était peu aisé. A partir de quel moment la sexualité s'est elle immiscée dans mon quotidien ? Quel évènement a bouleversé mes certitudes puériles façonnées d’abeilles qui butinent, de fleurs et de cigognes ?

Il y a eu cette nuit où j’ai entendu des bruits étranges provenant de la chambre parentale ou encore cet après midi où mon adolescente de sœur jouait avec des poupées pratiquant l’adultère (extrait : « Tandis que Barbie partait au travail, Ken en profitait pour prendre la baby-sitter sur la cuisinière rose bonbon… »).

En remontant le fleuve de ma jeunesse, je me revois tripotant ce bout de sexe étrangement dur, déshabillant la petite fille de plastique qui trainait derrière l’armoire, tombant nez à nez avec un K7 pornographique maladroitement cachée par mon père,…

S’il est difficile de faire un choix parmi tous mes souvenirs, ils y eux des moments clés, ceux qui m’ont véritablement fais basculer dans le vif du sujet, ceux qui ont fais doucement de moi ce que je suis aujourd’hui. Les voici :

- Ma première rencontre avec Monsieur Phallus et Madame Vagin :

    Avant ce jour là, je crois ne m’être jamais vraiment interrogé sur le pourquoi du comment de la vie et sur ce qu’il pouvait bien se planquer sous les culottes des filles. Je n’ai jamais posé l’éternelle question enfantine sur la création des bébés. Face à ce livre d’images et de textes crus, je n’ai pas compris tout de suite ce qui m’arrivait. Je l’avais trouvé un peu par hasard dans un tiroir et je l’ai feuilleté par curiosité. Ça parlait d’un homme et d’une dame qui répétaient inlassablement les mots « queue » et « chatte ». Qu’est-ce que ça venait faire là-dedans ? Au vu des photographie, il n’y avait pas l’ombre d’une bête à poil dans le coin… Et d’ailleurs, qu’était cette chose difforme et ébouriffée entre les jambes de la dame ? En tout cas, la dame avait l’air contente que son Jules lui mette son sexe énorme à l’intérieur. Tout cela me paraissait tellement absurde et la confrontation avec le sexe brut tellement soudaine que j’ai refermé le livre sans avoir saisi vraiment ce qui s’y racontait…

- Ma première rencontre entre mon pénis riquiqui et des fentes immatures :


    Dans un car, une journée d’été. Comme chaque année, mes parents m’avaient envoyé au centre aéré de mon village. Régulièrement, nous visitions des fermes ou des musées du coin avec les moniteurs. Ce jour là, toute la ribambelle de gamins et de fillettes s’entassait dans le bus qui nous ramenait chez nous, après une journée à la campagne. Fiona et Axelle discutaient sur la banquette devant moi. Puis, j’ai un blanc. Comment en sommes nous arrivés là ? Qu’est-ce qui les a poussé à venir me voir ? Je ne m’en rappelle plus. Quoi qu’il en soit, à un moment donné, les deux jeunes filles se sont retrouvées à côté de moi, me demandant de leur montrer mon sexe. L’une d’elle avait placé son manteau de sorte à ce que la scène ne sois visible par personne d’autre. Un peu paniqué, j’ai d’abord refusé. C’est alors, qu’elles ont baissé leurs petites culottes pour me dévoiler leurs minous juvéniles. Je fondait littéralement, c’était tellement mignon et immaculé, bien loin de la grosse chatte torturée du livre d’avant. Chamboulé que j’étais, je me suis laissé faire. Axelle a défait mon pantalon et en a sortis mon micro zizi. Il avait durcis à son paroxysme. Si mes testicules avaient été pleine de spermatozoïdes, je crois que j’aurais déchargé d’un seul coup sur son visage. Elle le touchait, intrigué; Fiona n’osait pas. Elle me demanda alors de fermer les yeux. Je sentais qu’il se passait des choses louches derrières la cloison de mes yeux. Lorsque j’ouvris l’œil, elle éloigna brusquement la tête. Sur le bout de mon sexe, il y a avait un peu de bave. J’ose croire que si mes paupières étaient restés closes, j’aurais eu le droit à ma toute première fellation, même maladroite et courte. Un autre blanc. Tout le monde est retourné à sa place et un môme me regarde bizarrement à l’autre bout du car. Ce fut certainement l’une des émotions les plus intense et innocente à la fois de ma tendre enfance…

- Ma première envie de grandir :

    Quand on est minot, on prend le temps de vivre. Pourtant, à un moment, on a envie de se joindre à la cour des grands. J’avais dix ans environ et j’ai appris ce qu’était la puberté. J’avais emprunté un magazine à ma mère qui en parlait de manière ludique et médicale. L’article détaillait toutes les phases de la transformation et les contraintes qui en découlaient. Ça parlait de mue de la voix, de corps qui change, d’évolution et de comportements. J’ai eu une révélation sur mon avenir : je me voyais dans ce corps boutonneux, un peu difforme et plus grand. Et ça me donnait vachement envie ! Je ressentais le besoin d’avoir au plus vite cette instrument développé entre les cuisses, je désirais que le temps s’active et que je passe enfin la barre fatidique : celle où l’on glisse dans un autre monde avec une quantité incroyable de première fois. Des premiers émois, premier baiser, premier câlin, première caresse, premier rapport sexuel. Si avant cela, je me foutais éperdument de mon avenir proche comme lointain, à partir de cet instant je savais ce que je souhaitais : la même chose que tout les autres, être un homme, mais un homme qui baise à tour de bras.

Je referme le bouquin et la boucle est bouclé. Tout avait débuté avec un livre et se concluait pour l’heure là-dessus aussi. Il ne m’arrivera plus rien jusqu’aux prémices de mon adolescence mais ça j’y reviendrais un peu plus loin…

"Et ce fut le jour de Noël suivant que j'arrêtai de croire au père noël..."

Par Dan - Publié dans : Comment j'en suis arrivé là
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Dimanche 10 mai 7 10 /05 /Mai 00:00

Quand l'ennui me guette, quand je suis passablement excité, quand je n'ai pas sommeil et même quand je n'ai pas de raisons particulières, je m'adonne à la masturbation.

Oh, je ne me sens jamais fier dans ces moments là, ni même seulement enjoué. Je le fais par necessité, pour oublier l'espace d'un instant mon célibat moribond. Je ferme les yeux, je m'imagine avec Nora, Océane, Justine ou n'importe qui, je me fais des films (de cul) puis je prie le ciel pour que ça arrive vite. Je jouis en silence dans un mouchoir en papier puis, l'affaire terminé, je passe à autre chose. Mais, souvent, cela ne suffit pas à me remettre d'aplomb. pire, il arrive que je broie carrément du noir et que l'humidité de mes yeux relaye celle de mon corps en nage.

C'est pourquoi, à défaut de positiver, j'ai choisis de poétiser. Ce qui suis est un hommage à tout ceux qui comme moi ne veulent plus mourir seuls...

"Pour ne pas mourir seul
J'éteins toutes les lumières
Ou je ferme les paupières
Pour croire que ce n'est pas ma main
Qu'il y a entre mes reins
Je préfère être aveugle plutôt que de mourir seul

Pour ne pas mourir seul
Je me crée des illusions
Des films de science-fiction
Où je monte au ciel
Avec des femmes virtuelles
Je préfère vivre faussement plutôt que de mourir seul

Pour ne pas mourir seul
J'imagine des poupées
Qui se laissent manipuler
Et que j'extrais de mon cerveau
Pour les presser contre ma peau
Je préfère serrer des robots plutôt que de mourir seul.

Pour ne pas mourir seul
Il faudrait naître deux par deux
Il faudrait naître sans queue
Il faudrait faire une autre terre
Où réunir tous les solitaires
Il faudrait que l'on me viole
Il faudrait que l'on me vole
Il faudrait que je me sente moins veule
Pour ne plus mourir seul..."


"Toi aussi amuse toi à trouver les 7 différences entre les deux fluides vitaux !"

Par Dan - Publié dans : La verge poétique
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Jeudi 7 mai 4 07 /05 /Mai 16:19
Lorsque je croise une fille anonyme, il m’arrive de l’imaginer nue contre moi, dans des positions fantasques, dans un lieu insolite, là, dans la rue par exemple. Comme dit précédemment, je ne tenterais rien avec celle-là. A l’opposé, il y a ses autres filles pour qui je n’éprouve rien du tout. C’est pourtant avec celles-ci que je vais avoir un rapport sexuel… Si je suis parfois surpris du résultat, lors de ma première fois, j’ai été bien mal inspiré de choisir Charlène.

Mesdames, Mesdemoiselles et Messieurs, installez vous confortablement et reprenez un peu de popcorn. Préparez vous toutefois à frémir puisque, ce soir, je vais vous conter la véritable histoire du « désastreux et effrayant premier coup de rein de Dan »…

L’affaire débute durant ma première année de lycée. Après quatre ans de collège à oublier, je me retrouve dans une école majoritairement fréquentée par des filles. Pétrifier par toutes ses présences féminines, il a fallu un temps d’adaptation avant que je me décide enfin à adresser la parole à quelques une d’entre elle. Et encore, si certaines n’avait pas eu la bonté de faire le premier pas vers l'animal apeuré que j’étais, j’aurais pu compter mes connaissances sur les doigts de ma main. Il y avait Typhanie, Marine ou encore Amel que je suivais à la trace, puis, accroché derrière moi, trainais ma casserole personnelle : Charlène, donc.

Charlène était connus dans tout le bahut. Pas pour sa plastique, non, mais plutôt pour la réputation qu’elle s’était créer bien malgré elle. Tout le monde la voyait comme l’imbécile de service, l’idiote du village, la gentille fille un peu sotte. Dans un univers d’adolescents un peu prétentieux, la trop grande gentillesse de Charlène ne suffisait pas à bien se faire voir, au contraire. Bien des personnes profitait d’elle et s’en moquait dès qu’elle avait le dos tourné. Ça candeur naturelle faisait le reste, elle ne s’en apercevait même pas. Elle me peinait un peu, j’avais envie de l’aider. J’en ai peut-être un peu trop fait.

Sans crier gare, je me suis retrouvé à l’embrasser en coup de vent entre deux bus. C’était là mon tout premier baiser. Je fus dépité : ça avait un goût de yaourt et la fougue d’une limace grabataire. Mais, au-delà de la déception, j’avais surtout immensément honte de moi. Je sortais avec la personne la plus indésirable de la galaxie (oui, j’exagère un peu mais en même temps je vous relate les faits tels que je les ai ressentis à l'époque). Du haut de mes quinze années, je me lestais d’un fardeau de six ans mon ainé, de surcroit. Si seulement j’avais pressentis que cette humiliation initiale allait être la première d’une longue série, je lui aurait certainement aussitôt fais comprendre que finalement nous n’irions pas plus loin. Plein d’immaturité, je lui ai seulement fais promettre de ne rien dévoiler à personne…

Deux jours plus tard, le lycée en entier était au courant de notre « idylle secrète ». Elle n’avait pas pu s’empêcher de se confier à une traitre qui s’est précipiter pour le hurler dans tous les coins. Par la suite, je subissais les railleries et les regards ahuris de mes récentes amies et même de personnes que je ne connaissais pas. J’ai tenu une semaine avant de la larguer pitoyablement.

L’histoire aurais pu (et aurais du) s’arrêter là. Les jours suivant, je me serais vaguement expliquer sur mon égarement passager et j’en rigolerais au bout d’un petit mois. Mais Charlène était étonnement tenace. La raison : elle m’aimait déjà. J’en fut honoré mais je lui signifiais que je n’y reviendrais plus. Elle me répondit qu’elle aurait souhaité m’offrir son pucelage, j’en restait coi…

Faire l’amour… Une fille désirais faire l’amour avec l’adolescent frustré et impatient que j’étais. Alors qu’elle ne me faisais aucun effet particulier jusqu’alors, elle se métamorphosait soudain en une figure mystique de la sexualité. Une sorte de déesse qui me montrait de son sage doigt la direction de son vagin subitement convoité. Sans plus y réfléchir, je cédais à sa demande. A l’annonce de nos retrouvailles, on me charria doublement, mais je m’en moquais à présent : j’allais enfin mettre mon sexe dans un vagin. Mon sacrifice ne serait pas vain.

31 décembre 2002. Charlène, moi, ainsi que quelques uns de nos amis célébrons le réveillon entre jeunes. On se retrouve entassé dans un appartement miteux planqué dans un village quelconque, il n’y a rien à se mettre sous la dent, l’alcool ne coule même pas à flot. Je m’en tamponne carrément, ce soir je ne serais plus vierge. Passé minuit, des paupières se ferment, j’en profite pour emmener Charlène dehors. Je recherche du regard l’endroit optimal, la voiture d’untel fera parfaitement l’affaire ; il est déjà occupé à dépucelé sa copine à lui. Une capote dans la poche, un drap sous le bras, je m’active à plier les sièges pour gagner de la place. J’allonge Charlène à mes côtés et entreprend un déshabillage ordonné. Elle est émue, je me souviens alors que l’instant est également important en ce qui la concerne. Très vite je dégrafe son soutien-gorge, sa poitrine m’apparait dans la semi-obscurité. Je presse mes lèvres contre son tétons et ma main contre son sein. C’est mou, trop mou. Je m’y attarde tout de même une poignée de minute, je savoure le premier nichon comme si du lait en sortait. Maladroit et fébrile, j’entreprend de lui retirer le bout de tissus qui protège le palais aux merveilles. J’ignorais encore qu’il s’agissait de la caverne aux horreurs. Des poils entrent en contact avec mes doigts, trop de poils, encore. C’est agressif et piquant mais je m’en fiche, tant qu’il n’y en a pas dedans… Elle est intégralement nue et moi aussi. J’arrache le préservatif de ma poche et l’enfile sur mon sexe. Lui s’est durcis comme jamais. D’ici quelques secondes il sera au chaud. Mais…

Une odeur me chatouille les narines, qu’est-ce ? J’ose à peine croire en ce que je sens à ce moment précis. J’ai astiqué ma queue au savon pendant une heure tout à l’heure, ça ne peut pas venir de moi. Prudent, je dirige mon visage vers l’entrejambe de Charlène. Il n’y a pas de doute possible : sois tous les vagins ont cette odeur et je deviens prêtre dans l’heure, sois elle pue simplement de la chatte. Aventurier, je poursuis mon chemin de croix. Je ne peux décemment plus faire machine arrière, je n’ai pas subit tout ça pour rien ! Puis je me dis que le latex me protège, j’espère seulement que l’acide n’attaquera pas le plastique. Charlène est dans un état second, depuis dix minutes elle respire bruyamment et ne bouge plus. Est-il possible qu’elle se soit asphyxié avec ses propres vapeurs ? Je me poserais la question plus tard, j’ai plus important à faire. Mon sexe entre en contact avec le sien, ébouriffé et puant. Je force l’entrée tout en demeurant doux.

Ça ne rentre pas. Je m’y reprend à plusieurs reprises, écarte plus largement ses cuisses, presse avec insistance et vigueur la porte de son vagin mais rien à faire. Soudainement prise de panique, elle me demande de laisser tomber. J’ai envie d’exploser, de lui foutre ma bite dans sa bouche, au moins, il y a de la place et pour avoir mis ma langue dedans, l’endroit est bien moins risqué que sa chatte. J’ai envie de lui écarter son trou au forceps, voire de lui faire l’anus. Je m’en balance, je veux mon frisson après la frayeur ! Mais je ravalerais ma rage tandis que mon pénis renverrais son fluide à ses réserves.

De retour dans l’appartement, Carla, notre copine commune jouis à gorge déployée sous les coups de reins de son amant. Téméraire, je retente ma chance, traversant de nouveau les différentes étapes traumatisantes. Epuisé et drogué par sa chatte, je crois que j’ai enfin franchis la barrière de ses lèvres. Je finis par me rendre compte que le trou dans lequel je faisais des va et viens était en réalité l’espace entre son cul et le matelas. L’humiliation ultime. Au moins j’étais rassuré de comprendre pourquoi et n’émettait aucun bruit. En même temps, je me demandais pourquoi elle ne m’avait pas prévenu. Je me laissais tomber près d’elle, lessivé.

L’information parcouru l’assistance entière. Je devenais au lendemain des vacances, l’homme qui avait « dépucelé » la fameuse Charlène. Une personne pleine d’esprit et d’humour avait même nommer l’évènement « les douze coups de Dan ». L’ironie de l’histoire c’est qu’aucun coup n’a été donné. Au mieux, je m’étais surement frapper la tête contre le premier mur venu. Je quittais tout de même Charlène, complètement dépassé par la situation…

Moralité : Si tu te retrouves dans une situation qui sent un peu mauvais,  déguerpis vite, car ça risque de puer plus encore un peu plus tard…



"Quelquechose me dit que je vais perdre mon aiguille dans cette botte de foin..."

Par Dan - Publié dans : Mes expériences sexuelles
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